A défaut d’études scientifiques exhaustives et objectives sur l’univers de la vapote, je trouve intéressant cet inventaire de constatations diverses et variées.
Il y a peu, j’ai aussi observé ce phénomène nouveau, sans être malade d’un rhume ou autre. C’est la toute première fois de ma vie que j’expérimente ça et je sais que c’est lié à la vapote. La sensation première a été une sensation de froid humide dans les narines. En regardant à l’intérieur de ces dernières avec un miroir, j’ai observé une quantité de petites gouttes d’eau (?) accrochées aux poils nasaux, vraiment comme des gouttes de rosée accrochées sur des brins d’herbe.
Je vapote du 50/50 ou du 65/35 en DIY.
Autre observation qui n’a rien à voir avec la vapote :
L’hiver et seulement l’hiver, je dois régulièrement passer la raclette sur le simple vitrage de mes fenêtres qui se couvrent de condensation d’eau.
A mon avis, il s’agit bien d’un phénomène de condensation et il doit dépendre de multiple critères : l’environnement où l’on se trouve (température, humidité…), les narines en question (taille, température intérieure, humidité, pilosité… ?) et du clearo aussi (vapeur chaude, tiède ou froide).
En suivant cette théorie, les narines font office de parois telles que le sont les vitres d’une fenêtre et prennent le choc de température entre la vapeur rejetée et celle de l’air ambiant. C’est la capillarité des poils qui retiennent les gouttes, qui, en nombre suffisant, peuvent se détacher et faire « couler du nez ».
La vapeur de vapote contient une petite proportion d’eau il me semble. Mais peut-être que le PG, le VG et leurs multiples combinaisons ont des propriétés et comportements similaires à celui de l’eau en ce qui concerne le phénomène de condensation dans les circonstances appropriées, et avec leurs propres « points de rosée »… ?
Il serait intéressant de savoir si quelqu’un aurait expérimenté cela en été ?
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La condensation est le phénomène physique caractérisant le passage d'un corps d'un état gazeux à un état liquide. Elle intervient lorsque l'humidité de l'air (l'hygrométrie) est de 100%, c'est-à-dire que l'air ne peut plus contenir plus de vapeur d'eau qu'elle n'en possède déjà. Le facteur température
Plus la température de l'air diminue, moins l'air peut contenir de l'eau. C'est donc pourquoi on voit les phénomènes de condensation et de brouillard plutôt l'hiver.
Le choc
Lors d'une diminution brusque de la température d'un air humide, on va donc avoir l'apparition de condensation. C'est le cas notamment lorsque les fenêtres sont en simple vitrage. En hiver, la différence de température entre la température de la pièce et la paroi intérieure de la vitre va créer de la condensation. La température à laquelle l'eau va se condenser est appelée point de rosée.
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